Cet article a été publié il y a 5 ans, il est donc possible qu'il ne soit plus à jour.
- N'oubliez pas l'obligation d'équipements hivernaux des véhicules au 1er novembre !
- Pas de remboursement de l’URSSAF si l’employeur évalue l’avantage en nature véhicule au-delà de l’évaluation forfaitaire
- Financement du permis de conduire avec le CPF : la donne change !
- Requalification en contrat de travail de la relation entre un chauffeur VTC et une plateforme
Depuis le 1er janvier 2017, en cas d’infraction routière commise avec un véhicule de société, l’employeur a l’obligation de communiquer l’identité, l’adresse et la référence du permis de conduire du salarié qui conduisait le véhicule, dans les 45 jours à compter de l’envoi ou de la remise de l’avis de contravention. S’il ne le fait, il encourt l’amende prévue pour les contraventions de 4ème classe (750 €).
Sont concernées par cette obligation, les infractions constatées par ou à partir des appareils de contrôle automatique :
- Port de la ceinture de sécurité ;
- Usage du téléphone tenu en main ;
- Circulation sur les bandes d’arrêt d’urgence ;
- Respect des distances de sécurité ;
- Franchissement et chevauchement de lignes continues ;
- Signalisations imposant l’arrêt de véhicules : feu rouge, stop ;
- Vitesses maximales autorisées ;
- Certaines de dépassement ;
- Engagement compris entre certaines lignes d’arrêt ;
- Obligation du port du casque homologué sur les véhicules motorisés à 2 roues et assimilés.
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