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Coronavirus : sort de la promesse d’embauche signée avant le confinement

Actualité
RH Contrat de travail

Peut-on rompre une "promesse d’embauche" signée avant la période de confinement ?

Coronavirus : sort de la promesse d’embauche signée avant le confinement
Publié le

Cet article a été publié il y a 4 ans, il est donc possible qu'il ne soit plus à jour.

Une promesse d’embauche vaut, en principe, contrat de travail, même si le salarié n’a pas clairement manifesté son accord. L’employeur ne peut donc plus se rétracter, sauf à engager une procédure de licenciement en invoquant un motif légitime. A défaut, il peut être condamné à verser des dommages et intérêts au salarié en fonction du préjudice subi, ainsi qu’une indemnité de préavis.

Toutefois, la jurisprudence considère que la promesse d’embauche ne vaut pas forcément contrat de travail.

Elle distingue en effet l'offre de contrat de travail et la promesse unilatérale de contrat de travail.

Distinction entre l’offre de contrat de travail et la promesse unilatérale de contrat de travail

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