Cet article a été publié il y a 2 ans, il est donc possible qu'il ne soit plus à jour.
Le préjudice d’anxiété découle d’une situation d’inquiétude permanente de salariés ayant été exposés à une substance nocive ou toxique générant un risque élevé de développer une pathologie grave. Les salariés ne sont donc pas malades, mais craignent de l’être un jour en raison de cette exposition, ce qui leur ouvre droit à une indemnisation spécifique.
A l’exception des établissements classés ACAATA, figurant sur la liste ministérielle ouvrant droit au dispositif de « préretraite amiante », dans lesquels le préjudice d’anxiété du salarié est présumé, Pour les salariés de toute autre entreprise, le préjudice d’anxiété n’est pas présumé.
Cette actualité est réservée aux abonnés Légisocial. Il vous reste 76% à lire.
Accédez immédiatement
à l'intégralité de cette actualité
Accès immédiat
aux contenus
Accès en ligne
et hors ligne
Résiliable
en 1 clic