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Quand une blague sexiste constitue une faute grave justifiant le licenciement

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Droit du travail Licenciement

Une blague sexiste banalisant les violences faites aux femmes peut justifier un licenciement.

Quand une blague sexiste constitue une faute grave justifiant le licenciement
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Cet article a été publié il y a 2 ans, il est donc possible qu'il ne soit plus à jour.

La faute grave est un fait ou un ensemble de faits, imputable au salarié et constituant une violation de ses obligations dont l’importance et la gravité sont telles, qu’elles rendent impossible le maintien de ce salarié, même temporaire, au sein de l’entreprise.

Une blague sexiste banalisant les violences faites aux femmes peut justifier un licenciement.

La Cour de Cassation a ainsi récemment validé le licenciement pour faute grave de l’animateur télé Tex des Z’amours qui s’était fait remarquer avec une blague sexiste en direct à une heure de grande écoute, en plein contexte « metoo », alors qu’il était tenu par son contrat de travail à une certaine éthique, notamment en matière de sexisme.

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