Cet article a été publié il y a un an, il est donc possible qu'il ne soit plus à jour.
Collisions engins-piétons, chutes de hauteur, renversements, pollution aux particules diesel… Les risques liés aux engins de chantier sont nombreux et tiennent à la fois à la nature même de ces équipements – imposants et capables de transporter des charges importantes – et à leur interaction avec des milieux spécifiques. Pour tout cela, des solutions techniques existent, mais elles ne suffisent pas : une démarche globale s’impose.
Quel est le point commun entre une minipelle hydraulique, utilisée pour des petits travaux de voirie, un imposant tombereau de 30 tonnes ou encore un jumbo de forage pour tunnel à trois bras articulés ? Ni leur forme, ni leur fonction… Et pourtant, ils font tous partie d’une même famille, celle des appareils motorisés, non immatriculés, employés pour les travaux de construction, de terrassement, de démolition ou d’aménagement de routes. Autrement dit, des engins de chantier. L’utilisation de ces équipements peut générer de nombreux risques professionnels, dus à de nombreux facteurs : leurs dimensions, leurs utilisations, les environnements dans lesquels ils évoluent, les interactions auxquelles ils participent… et certains risques peuvent être évités en étant pris en compte dès la conception.
Créer un compte pour consulter cette actualité
Il vous reste 87% à lire.
Un compte LégiSocial / LégiFiscal est nécessaire pour lire la suite et bénéficier de nos fonctionnalités IA ✨ comme les points essentiels ou le résumé de l'article.